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il y a 5 ans
La bonne ville de M. s'était développée auprès des murs élevés de l'ancienne ferme, fondée depuis plusieurs siècles par les membres de la s e c t e qui avait chassé le grand culte païen. Primitivement conçue dans une architecture austère, elle fut peu à peu agrandie et fortifiée en ces temps reculés et troubles. Ses épaisses murailles avaient toujours accueilli les plus déshérités et tous ceux qui frappaient aux lourdes portes.
L'abbaye avait vécu chichement, au gré des pauvres récoltes que lui permettaient un minuscule potager et un trop peu nombreux poulailler. Les abbés et leurs frères qui s'étaient installés là, y recherchaient calme et sérénité, loin des turpitudes du monde bouleversé, et l'austérité de leur régime ne les effrayait pas. Il faut bien savoir qu'à cette époque lointaine, la communauté ne comptait qu'une dizaine de membres qui vouaient leur vie à la prière et au recueillement.
Les années passèrent ainsi, les moines vivaient reclus au sein de cette petite communauté sans histoires, abîmés dans cette vie d'ascèse, de repas frugaux et de chants qui résonnaient sous les sombres voûtes, basses et froides durant les longues, très longues journées de prières.
L'abbaye se situait à courte distance d'un grand carrefour de routes, à moins de cinquante lieues de la côte océane. Les échanges avec le monde extérieur, qu'ils avaient tous fini par oublier, étaient rares, hormis quelques paysans qui leur livraient les miches de pain, quelques gueux ou pèlerins qui, les jours d'hiver et de disette venaient solliciter des pauvres moines un bol de soupe chaude.
C'est ainsi qu'ils apprirent que le tout puissant souverain de l'église avait nommé des représentants dans chaque province. Et, que celui qui s'était installé dans la paroisse de M. tenait les fidèles sous un joug fort pesant et d'une main de fer. Cet évêque, dont les sbires terrorisaient les serfs et les villageois, prélevait la dîme et bien plus que son dû !
Il imposait pénitences si grandes à qui désobéissait à sa loi que c'était pitié de voir une âme si noire appelée à une si charitable et noble mission ! Dieu soit miséricordieux et juste ! Louée soit sa divine Clémence !
L'abbé Dominius, Prieur de l'abbaye se faisait vieux. Retranché dans la prière, il n'avait pas perçu les bouleversements extérieurs comme une menace pour sa communauté et n'y avait pas cru un seul instant. Il s'éteignit aussi discrètement qu'il avait vécu, et, si la grosse cloche de la chapelle, offerte par le seigneur voisin n'avait pas répandu la triste nouvelle, personne n'en aurait jamais rien su.
Notre histoire commence à cette époque où un nouveau prieur, Phillip, homme autoritaire et inflexible fut désigné comme maître absolu de la communauté. Personne ne savait d'où il venait et le prieur s'était contenté d'expliquer qu'il revenait de la Sainte Croisade et aspirait à présent à se consacrer à la prière et au service de Dieu.
Olivier de G, abandonné par ses parents aux portes du couvent des pères Hypocristins de M., fut recueilli et éduqué par les douteuses méthodes de ces derniers. Sans autre formation que celle reçue dans les salles obscures de l'abbaye, il réussit échapper à leur étroite surveillance. Vêtu juste d'une pauvre tunique et de méchantes sandales, il traversa la campagne et, exténué, tomba de fatigue au pied d'un arbre, près d'une rivière, à plusieurs lieues du couvent...
Le claquement sec d'un fouet au-dessus de sa tête le réveille d'un coup brutal. Instinctivement, il s'aplatit, soumis, afin d'éviter quelque nouveau coup. L'homme qui se tient devant lui est un solide gaillard. Les moines étaient plutôt petits et bien nourris ; celui-ci est immense, l’œil clair et le cheveu sombre, une barbe de plusieurs jours. L'autorité et la puissance qui émanaient du personnage f o r ç a ient l'admiration du fuyard.
Ils se dévisagèrent un instant, chacun évaluant les dispositions de l'autre.
— Que fais-tu céans, dans pareille tenue, manant, veux-tu te faire dévorer par quelque bête sauvage ou souhaites-tu te faire enlever par une bande de brigands ? Hein ! Réponds !
Le fouet claqua de nouveau puis la lanière vint mordre les épaules du garçon. Il endura les coups sans broncher.
— Tu aimes ça, on dirait ! Tiens ! Chien !
L'autre s'en donnait à cœur joie. Olivier voyait s'allumer dans les yeux de son t o r t i o n n a i r e une lueur de plaisir et osa regarder le bas-ventre du bonhomme : sous la rude étoffe, son membre raidissait à vue d’œil. Il s'arrêta de frapper, essoufflé, rouge de désir et de colère de n'avoir pu arracher aucun cri à sa victime.
— Serais-tu muet, par hasard
— Non Seigneur, répondit-il enfin, j'ai tellement reçu de coups que ceux que vous m'avez donnés me semblent caresses...
— Ainsi, il s'avança près du jeune homme en enroulant son fouet, tu as été élevé à la dure, hein !
— Oui Seigneur. Olivier recula.
— D'où sors-tu chenapan, avec une gueule comme la tienne, tu pourrais faire bien des grâces dans quelque cour de province.
Il continuait d'avancer. Olivier recula encore. Il se trouva acculé contre un arbre.
— À genoux ! Ordonna l'homme.
Il obtempéra immédiatement. Le géant lui maintint fermement la tête en lui passant la lanière du fouet autour du cou. De son autre main, il se libéra et exhiba sous le nez du captif un sexe odorant fort le bouc et plutôt volumineux.
— Allez, nettoie-moi tout ça ! Lèche ! Et n'aie pas peur de saliver, ça ne vas pas t'user la langue !
Olivier retint un haut-le-cœur et nettoya le gland du mieux qu'il put. Les souillures des jours passés, macérées sous le prépuce lui remplissaient la bouche et ravissaient ses papilles. L'autre était excité comme un âne.
— Bien, réussit-il à dire, avale !
Olivier déglutit. À peine rouvrit-il la bouche pour respirer que l'homme lui enfonça son membre au fond de la gorge.
— Dieu, grogna-t-il, quelle descente !
Il s'enfonça encore plus profondément. Des larmes inondaient les yeux du mignon. La poigne de l'homme qui lui tenait fermement la nuque, arrachait la bouche écartelée sur la racine de sa queue et l'y replongeait avec une rare v i o l ence. Dompté, Olivier acceptait l'intrus, mesurant sa respiration à chaque nouvel assaut. Le pressant va-et-vient ne finissait pas de s'accentuer. Cette brute se servait du gamin comme il l'aurait fait d'une chèvre ou pire encore, d'une de ces filles de ferme qu'il v i o l ait et qu'il laissait pour m o r t e sur la route de ses méfaits. La queue chauffée à blanc, raide de plaisir, palpitait. L'homme libéra la gorge meurtrie et lâcha un râle inhumain. Le foutre jaillit, brûlant, épais, abondant, aspergea le visage du garçon, en jets saccadés. Tout son corps tremblait. Olivier ne bougeait pas. Il attendait que l'autre eut fini de jouir.
— Par les cornes de Satan ! Tu es un démon ! Tu m'as fait jouir comme personne depuis bien longtemps !
Un regard mauvais flamba dans ses yeux.
— Tu voulais te débarrasser de moi, hein ? Tu t'es dit, dans ta petite cervelle de moineau qu'ensuite tu serais tranquille. Tu vas me payer ton insolence.
Il approcha de nouveau sa queue à peine débandée du visage d'Olivier et étala le foutre sur toute la tête du garçon. Puis, il se mit à pisser. Il poussait fort pour que le jet frappe et éclabousse. Olivier était trempé, humilié. L'autre devenait méchant. Il empoigna le gamin par les épaules et le souleva de terre sans aucun effort.
Il le jeta v i o l emment au sol et, d'un seul geste précis, lui déchira en deux sa tunique et dévoila les reins et le cul. Il rugit.
— Voilà donc ce que tu refusais de me montrer! Tu vas prendre la correction de ta vie, crois-moi ! Tu vas t'en souvenir !
Cette fois-ci, Olivier ne put s'empêcher de crier. Les coups pleuvaient sur les fesses et les cuisses. La brute frappait avec rage et méthode, jamais deux fois de suite au même endroit. Immobilisé sous l'avalanche des claques, Olivier n'aperçut pas le chevalier qui se tenait derrière son b o u r r e a u . Il entendit juste un coup sourd et la trempe arrêter net. Le corps s'affaissa sur le jeune homme et, dans un dernier sursaut, son t o r t i o n n a i r e rendit son âme à qui en voudrait.
— Viens, c'est fini, ordonna son sauveur.
À coups de pieds, il envoya le corps du salopard rouler dans la rivière.
— Les poissons nettoieront sa carcasse !
Olivier se retourna et vint baiser les pieds du chevalier.
— Monseigneur, je vous dois la vie ! Que le Ciel vous bénisse !
— Relève-toi répondit l'homme en armure, il nous faut panser ces plaies.
Il alla quérir dans une sacoche de sa selle un onguent et enduisit le corps meurtri d'Olivier, étalait la crème apaisante sur le cul et les cuisses v i o l acées, marquées par les outrages du vicelard.
— Par le Très-Haut ! Il ne t'a pas manqué ce fumier ! Il t'aurait très certainement achevé après s'être servi de toi de la plus ignoble façon. Je connais ce genre de mercenaire, ça pille et ça v i o l e, c'est sans foi ni loi !
Le remède avait un effet magique. Olivier commençait à oublier sa douloureuse épreuve. Mais, ce nouveau personnage, miraculeusement surgi de nulle part, Olivier pourrait-il lui faire un peu confiance ?
Owen, le chevalier inconnu, voulut en savoir plus sur le jeune garçon qu'il venait de sauver d'un massacre certain. Mis en confiance par la présence rassurante du chevalier, il lui raconte son histoire...
"Un de mes meilleurs souvenirs date de la nuit de la Saint Jean. Nous étions tous là, les élèves, les moines, et notre père prieur, notre maître à tous, Phillip. Chacun avait une tenue adaptée aux besoins de la circonstance. Le cuir, amoureusement travaillé par Frère Anselme habillait quasiment la majeure part des participants. Certains avaient les chevilles et les poignets entravés, d'autres ne portaient qu'une sorte de harnais grâce auxquels il était facile de les suspendre ou de les soumettre plus encore. La température fraîche des sombres cryptes de l'abbaye incitait tout le monde au mouvement. La pénombre aussi d'ailleurs !
Frère Paul réchauffait surtout les novices. Muni de son chapelet personnel, une espèce de fouet avec de courtes lanières terminées par des boules en os, il colorait les reins et les fesses de nos nouvelles recrues, décorait cette chair offerte de zébrures mauves et rouges. La bure seule apporte un soulagement à la cuisante douleur. Frère Hyppolite, baptisé ainsi parce qu'il est membré comme un âne, lui, a une autre technique. Il allume sur un grand chandelier en fer plusieurs cierges de bonne taille. Quand la cire est bien chaude, il aime la faire couler sur les couilles fraîchement rasées des frères, solidement ligotés pour recevoir cette bénédiction. Le liquide brûlant vient s'éclater sur la fine peau déjà avivée. Le récipiendaire tressaille, parfois souffle v i o l emment, mais remercie toujours son frère qui lui pardonne ainsi ses fautes.
— J'ai toujours aimé l'odeur de la cire chaude.
— Et Phillip demanda Owen, que fait-il ?
— Phillip vient plus tard. Je suis chargé de veiller à ce que tout se passe bien. Rien n'est interdit mais tout doit se faire dans le respect de l'autre. C'est la règle. Si cela dér a p e , c'est moi qui prends !
— Comment cela ? Demande le chevalier vivement intéressé.
— Mis à part les privations de toutes sortes, jeûnes, fers, chaînes et coups de fouet, mon maître me prive de sa présence et je dois dormir seul à l'étable.
— Et tout s'est bien passé, cette nuit-là ?
— Magnifiquement ! Quand toute l'assistance fut en condition, on apporta l'élixir et on alluma l'encens Les vertus de ces produits que Philip avait rapportés d'orient faisaient dresser bien des queues et dilataient bien des culs !
La célébration pouvait alors commencer. Phillip, d'un seul regard désignait ceux qui devaient être attachés sur les grandes croix fixées aux murs. Les Frères qui officiaient se masquaient le visage avec des cagoules pour que leurs esclaves ne les reconnussent point. Ils suspendaient à leurs couilles des poids de différentes mesures. Les cris des suppliciés excitaient les frères et résonnaient sous les voûtes comme une musique lancinante et suppliante, rythmée par les claquements des lanières de cuir qui leur tannaient la peau. D'autres étaient fermement maintenus par les membres, face contre le bois des tables, les reins offerts.
Phillip et ses acolytes leur graissaient le trou du cul et y plongeaient des sexes en bois sculptés et polis de différentes tailles. Chacun de ces faux sexes avait le nom d'un saint, et l'on savait que si on avait été voué à Saint Pierre, on en avait pour plusieurs jours à s'en remettre ! Quand les esclaves avaient mérité quelque répit, nous les menions alors vers le lavoir. Il y a, dans le monastère, un vaste bassin où plusieurs hommes peuvent s'y tenir pour s'y laver. Là, nous y jetions les novices et leur administrions de ces douches ! Ah, il fallait les voir, s'ébattre sous les jets conjugués de tous nos aînés qui distillaient à cette occasion une quantité de cidre phénoménale !
Une fois bien rincés, leur soif étanchée correctement, nous les laissions là, à reprendre leurs esprits. Plus tard, nous revenions les chercher. Ceux qui avaient passé avec succès cette première série d'épreuves étaient déclarés Novices, les autres devaient reprendre le tout depuis le début, et restaient les Aspirants. Les Novices sont alors pris en main par les Frères des Ablutions. Là, ils sont rasés et tondus. Des pieds à la tête. Puis on leur administre de profonds lavements qui doivent les purifier de leurs fautes passées. Les jeunes culs, déjà travaillés ont bien du mal à garder les pintes d'eau que l'on y déverse ! Mais, ce ne sont que des Novices. Il faudra encore parfaire leur éducation...
Owen paraissait vivement excité par ce que lui racontait Olivier.
— Dis-donc, puisque tu ne sembles rien ignorer de ce qui fait plaisir à un homme digne de ce nom, tu pourrais t'occuper de ceci !
Il souleva sa cotte de mailles et sortit un sexe lourd et gros, aussi épais que le fameux Saint Pierre, encore tout engourdi, mais prêt à se réveiller. Olivier s'en approcha à quatre pattes et engloutit le gland qui lui remplissait la bouche.
— Ouais, lèche-le bien, il va encore durcir, tu vas pouvoir en profiter entièrement !
Cela ne tarda pas. L'énorme queue raidie par la caresse experte palpitait au fond de la gorge du jeune mec. Owen l'arracha à la succion et d'un geste puissant retourna son protégé, lui cracha au cul et s'enfonça en lui d'un sauvage coup de reins. L'assaut était si v i o l ent qu'un instant Olivier voulut se dégager, mais l'autre surpris, rua encore plus et le cul, totalement possédé vint s'empaler sur le manche de chair qui lui fouillait les entrailles. Olivier lâcha un râle inhumain, sa jouissance décuplait les allers et retours du mâle qui lui taraudait l'anus dilaté. Brusquement, Owen se retira.
— Ne bouge pas, ordonna-t-il.
Il prit une profonde respiration, agrippa Olivier par la taille, le f o r ç a encore une fois brutalement et vint décharger son foutre au fond du cul totalement soumis à son plaisir. Owen resta collé au cul d'Olivier tout le temps de sa jouissance. Plusieurs journées de route avaient largement rempli ses lourdes couilles qui battaient contre celles d'Olivier. Lentement, cette fois-ci, il se dégagea.
— Cornedouille ! Quel cul ! S'ils sont tous comme toi, à l'abbaye, ils ne doivent pas s'ennuyer !
— C'est bien pour ça que Phillip m'a choisi...
— Ton Prieur semble avoir beaucoup de goût. Remets donc du bois dans le feu et sers-nous à boire. Quand tu m'auras nettoyé la queue, tu pourras reprendre ton histoire...
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